J'aime écrire et dire ce qui me passe par la tête, au moment où çà transite entre les oreilles.
______________________________________________
Ce blog : espace vague de mon expression dispersée, compliquée (parfois) mais toujours spontanée.
Newsletter
Abonnez-vous pour être averti des nouveaux articles publiés.
J'arrive chez mes grands-parents, téléphone collé à l'oreille. Concentrée. Et soudain : Badaboum. Deux genoux qui claquent sur le béton. Ma paume gauche également. Mon smartphone fait sa vie, il voit de très près le bitume.
Mes genoux bobo (mais pas cassés, incroyable !), mon collant rouge bordeaux pas filé (oufff!).
L'iphone lui connaîtra des séquelles irréversibles.
Genoux sous le collant en sang mais collant sauvé (re-ouff).
Gamin. A deux mètres, son parrain. Je discute avec le môme. Dans la conversation, une chose en amenant une autre, lui demande si son parrain est son oncle. Il ne sait pas. Soit, je dois avoir mal compris. Son parrain nous rejoints et nous parle de sa soeur, la mère de gamin. Gamin se tourne alors vers son parrain : "dis, tu es mon oncle ?"
Soirée chez des potes. Soirée avec des Japonais. Marie apprend le japonais mais çà, c'est une autre histoire qui fera l'objet d'un prochain billet. Soirée chez des potes, donc. Dans un très lointain souvenir, je sais que mon voisin de droite est Alsacien mais au moment de passer à table -le champagne à la violette aidant- la Marie zappe cette information ô combien capitale et se permet un apparté d'environ 3 minutes sur nos amis les Alsacos, ces Xénophobes... Je vous laisse imaginer ma tête quand, une demi heure plus tard, il se tourne vers moi, amusé "ben tu sais moi je suis originaire de Colmar" et là, tout te revient.... tout ! Et tu pouffes de rire dans ton assiette.
Soirée chez l'ambassadeur. Enfin presque, chez un notable reconnu. Cérémonie. Discours. Petits fours. Marie filme et les discours terminés, se précipite vers la femme qui s'est entretenue avec le notable qui reçoit, juste après qu'il ait terminé son discours. "Bonsoir, excusez moi, je pense que vous devez être la secrétaire, pourriez-vous..." Coupée dans mon élan : "euh non, je suis sa femme !"
Reportage avec des mômes. Des collégiens. Un qui me raconte qu'il a arrêté le piano y a 3 mois parce qu'il gérait pas le métronome. Du coup, qu'il s'est mis aux percus. Bah oui, t'as pas le rythme dans la peau, mais c'est certain, le djembé tu vas gérer à mort "Gamiiiiiin"
au resto ce midi, jus frais carotte-orange accompagné d'une salade roquette, de boulettes de viande farcies au courgettes et d'une soupe faite maison aux courgettes.
Un Délice ! Plus que çà même...
Ne surtout pas prendre de café à la fin du repas pour ne surtout pas perdre les effets bénéfiques de ce déjeuner riche en vitamines.
Instrumentiste mais surtout pianiste émérite, vous, comme moi, n'avez probablement jamais entendu le nom de cette chanteuse à la voix grave : Beth Hart qui semble s'illustrer comme storyteller et dans le registre blues rock. Depuis 20 minutes, je pourchasse sa discographie. Discographie conséquente car Beth Hart a débuté en 93 et joue du piano depuis l'âge de 4 ans.
Cette quadra -si on s'en tient à sa bio et si on considère que je sais compter : de 1972 à 2013 çà fait bien 40 ans- a été découverte -toujours si on s'en réfère aux sites web spécialisés- par la diffusion, durant la dernière saison de Beverly Hills 90210, de sa chanson "LA Song".
LA à prononcer L-ei-eiii : pas question ici du pronom indéfini féminin mais de l'abréviation américaine LA pour Los Angeles.
Pour en revenir à Beth Hart, elle n'est pas de prime jeunesse. Son visage est marqué mais sa voix est chaude, sensuelle et moi je craque toujours pour un piano-voix.
Je viens de voir qu'elle passait prochainement à Stras, mais je vous propose d'abord d'écouter "Chocolate Jesus".
Attention, ce n'est pas une chanson de Beth Hart mais du célèbre Tom Waits.
Je trouve néanmoins la version que la chanteuse et Joe Bonamassa nous proposent, plus voluptueuse.
Quant aux paroles de la chanson, je vous laisse savourer... comme un bon chocolat.